mercredi 11 juillet 2012

ME.008 Ostgut Ton

Un week-end “Made In Berlin”. 48 heures pour présenter l’incroyable scène berlinoise, avec les résidents des mythiques Berghain et Panorama Bar. Quoi de plus normal d’inviter pour l’occasion Ostgut Ton, le label issu de ces deux clubs de légende, à investir pendant une nuit et un après-midi le Cabaret Sauvage.


http://mercredi-production.tumblr.com/

http://www.berghain.de/

Berlin Paris 2012

Berlin et Paris, les deux métropoles de l'art poursuivent les échanges entre les galeries. Avec les invitations mutuelles et soixante artistes présentés, le principe de rencontres est, pour cette quatrième édition, prolongé par une journée d'interventions artistiques orchestrée par les collectifs de commissaires d'exposition Le Bureau/ (Paris) et The Office (Berlin). "…et ils installèrent le bureau à l'auberge." se déploie dans l'espace public des cafés des "3 Schwestern" dans le Kunstquartier Bethanien à Berlin et "Le bar du foyer historique" de la Gaîté Lyrique à Paris. 

Les Démons de Berlin


vendredi 4 mai 2012

le Berlin de Jules Huret

«Dans vingt ans, Berlin aura quatre millions d’habitants : et ce sera Chicago.» «Dans vingt ans », c'est-à-dire en plein krach de 1929 et entre deux Guerres mondiales… Pour l’heure, Berlin est encore une ville nouvelle colossale, ultra moderne, traversée d’infatigables tramways électriques et de larges voies à l’ombre de parcs. Architecture spacieuse, urbanisme avant-gardiste, revendications féministes et syndicales : il souffle un vent révolutionnaire sur la capitale prussienne. Jules Huret, un des premiers reporters modernes, saisit l’instantané de Berlin à la Belle Époque ; une Metropolis avant la chute. Allers et venues d’ascenseurs, téléphones tonitruants, nuit éclairée comme en plein jour, la ville n’en est pas moins hantée par le spectre d’une guerre entre la France et l’allemagne - un «cauchemar» qu’on veut à tout prix éviter… - et par l’antisémitisme, dont Jules Huret dresse ici l’état des lieux. 
Texte extrait de Berlin, publié en 1909.

mercredi 18 avril 2012

L'ombre d'un doute - France 3



Lili Marleen, hymne nazi ou chant de la liberté ?

Lili Marleen est une chanson au destin hors norme. Aujourd’hui, on en retient surtout la version de Marlène Dietrich, chantée après la Seconde Guerre Mondiale. Pourtant, c’est pendant la guerre que le succès de cette chanson s’est joué. Tour à tour utilisée et interdite par la propagande nazie, adoptée par les soldats de la Wehrmacht puis par les soldats Alliés, elle fut adaptée en une cinquantaine de langues dans les années 1940, pour devenir un tube planétaire.